L’université m’a guidée du début (tuteur pour les procédures administratives et bancaires, logement attribué) jusqu’à la fin. 

J’ai choisi Tohoku Daigaku pour les cours de japonais. Nous avons été répartis selon notre niveau par un test au début, mais on pouvait migrer entre les classes tant qu’on se sentait à l’aise (dans la limite de la deadline d’inscription aux cours et de leur capacité de nombre, il ne faut pas s’inscrire trop tard). Le programme que j’ai choisi (deep-bridge) m’a permis d’avoir un professeur référant selon ma spécialité (le droit), et d’avoir du temps libre autant pour travailler mon japonais, que pour faire mon rapport de recherche et faire des connaissances !

S’il est vrai qu’on ne rencontre que des étrangers aux cours, il y a pleins d’associations pour rencontrer des Japonais, découvrir la culture et améliorer son japonais oral ! L’université, les associations et l’accueil des logements sont très actifs pour proposer des activités, autant gustatives que de voyage. La bibliothèque est gigantesque et très fournie pour apprendre le japonais. J’ai pu aussi bénéficier de l’aide à l’insertion professionnelle pour trouver un stage, le réseau joue beaucoup.

Le seul bémol serait que l’on ne peut s’inscrire qu’aux cours de japonais, et non aux différents cours dispensés par les facultés. Néanmoins, on peut s’arranger avec les professeurs pour participer en tant qu’auditeur libre. Si on trouve le temps de prendre d’autres cours à côté !

Je la recommande pour tous ces points.

Eugénie THIERRY P24

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