Déjà en retard en ce début d’année mais à l’heure à la soirée, ouf. Laquelle, la soirée la plus gai et friendly de l’année au CFJM : la yokoso party des P26 tout fraîchement débarqués de la Normandie Bretonne.
28 jours plus tard
28 jeunes et anciens jeunes s’étaient regroupés en ce vendredi 5 octobre – pour ce qui sera la dernière année de l’ère Heisei – pour dévorer la boisson promise dans un bouiboui façon Ero Jidai où nous sommes restés coincés pendant près de deux heures avant de nous ouvrir à de nouveaux horizons.
Nos newbies du Japon après une heure de nomimono n’ont pu céder à la tentation de leur présentation officielle made in Yoshiwara, nous permettant ainsi de mieux les connaître et d’apprendre à encore plus les apprécier pour pouvoir répondre à leurs désirs de stages et d’emplois futurs.
On ira tous au HUB, crois-moi… Même toi !!!
Alors qu’après un sekigahara maison nous perdions quelques pères de familles enivrés, il étaient temps de nous ouvrir à l’extérieur et de continuer la soirée dans une ambiance proche de notre crachin breton adoré. Direction l’un des hubs irlandais du premier Chome de Kabuki. Le show était lancé et nous retrouvions même un ou deux CFJMiens douteux (cheers Tomatono kun et Ben sama tout juste débarqué de Pattaya où avait soit-disant lieu un illustre forum pharmaceutique resté inconnu selon le détective google) membres platinum de cette fameuse taverne nippone. Il était déjà tard et bon nombre d’entre-nous avions raté le dernier train de “feu” l’immeuble My City de shinjuku.
Que faire alors ? Le CFJM étant une école à forte dominante masculine, certains observateurs avertis de la soirée suggérèrent de troquer la jupe de shibuyette pour s’adonner au plaisir des hommes dragons.
Direction le fruit du diable, péché originel défendu ?
Un peu de GHB et l’écrivain de pacotille qui rédige ce torchon d’article avait finalement oublié le nom du club de tous les délires masculins. Bonne ambiance donc où tous nos garçons auront eu au moins une fois dans leur vie le plaisir (la chance ?) de se faire draguer par deux ou trois japonais à l’approche envieuse : « je cherche mon iPhone, pourrais-tu m’aider à le retrouver ? » On aura vu mieux… ou pas !
Au petit matin, les morts-vivants vaillants étaient de moins en moins nombreux, un ménestrel surfeur des baïnes aurait pu relancer la soirée avec les quatre accords magiques de tout interprète de variet’ française qui croit être respecté (Christophe MAE, tu es un escroc) mais point de guitare à l’horizon.
Ce fût donc repus que nous regagnâmes nos pénates, titubant pour certains, en canard pour les autres, heureux du devoir accompli.
Bref, ce fût une bonne soirée.
Le rendez-vous est pris pour la bonenkaï gratuite pour tous le 21 décembre prochain au Grand Hyatt de Roppongi.
Bises Bye les tomodachitachi.